Une carrure imposante et un charme affirmé, voilà les atouts qui permettent de renforcer son estime de soi. Cependant, des imperfections telles que l’alopécie peuvent très vite ternir le raffinement dont la nature vous a gratifié. Dans un tel contexte, on a parfois la vague impression que notre intégrité corporelle est compromise.
Ainsi, lorsque la calvitie devient embarrassante, la greffe capillaire est généralement l’alternative à laquelle on fait recours. Le caractère esthétique, durable et discret de cette thérapie n’est plus à démontrer.
Cependant, des mythes et des idées reçues se sont insidieusement ancrés dans la pensée collective à propos de la greffe des cheveux. Dans cet article, nous nous évertuons à dissiper ces idées reçues en faisant un tour d’horizon des implants capillaires.
La transplantation capillaire, une méthode novatrice issue de la fusion entre la médecine et l’esthétique
Qu’elle soit la résultante d’une maladie auto-immune telle que la sclérodermie ou le lupus érythémateux ou qu’elle soit d’origine infectieuse, des remèdes radicaux existent aujourd’hui contre la calvitie.
Le principe des implants capillaires consiste à prélever des cheveux dans la zone arrière de la couronne, puis à les transplanter sur la surface proche de la zone frontale.
Plusieurs techniques d’implants capillaires y sont pratiquées telles que la technique de la bandelette, la technique FUE, la greffe DHI et la greffe IFA. Ainsi, pour un résultat proche de la perfection et un rendu naturel, il n’y a rien de mieux que de faire recours à la clinique esthétique Hair Turkey. Elle a su venir à bout des cas les plus désespérés.
Les idées reçues à propos de la greffe capillaire
La greffe des cheveux fait l’objet d’un engouement sans précédent. Le pourcentage des personnes qui y font recours est désormais en forte hausse. Cependant, cette renommée dont fait l’objet la greffe capillaire a été un substrat fertile d’où ont germé de nombreux mythes et idées reçues.
En effet, certains pensent à tort que c’est une opération extrêmement douloureuse et que les cheveux greffés ne font pas de repousses. Il n’en est absolument rien.
En effet, cette opération est réalisée après une anesthésie locale. La greffe est donc indolore aussi bien pendant la chirurgie que pendant la phase de récupération. Les seuls inconvénients de la greffe capillaire se limitent à des sensations d’inconfort qui ne tardent pas à s’estomper.
De plus, pour les patients redoutant l’usage des aiguilles, les professionnels font désormais recours à un injecteur à jet. Le rôle de ce dispositif est d’insérer une anesthésie primaire sans l’usage d’une aiguille. Une autre option est la réalisation d’une sédation avant l’anesthésie.
En outre, les bulbes pileux greffés dans le cuir chevelu proviennent du même patient. Cela leur donne la capacité de repousser naturellement tout en étant authentiques.
D’autres mythes à propos de la greffe se fondent sur le fait qu’il faut totalement être chauve avant d’y faire recours ou qu’il faut absolument se raser avant l’opération. Pour d’autres, la greffée laisserait des cicatrices visibles sur la tête.
Toutes ces assertions ne sont rien d’autre que des affabulations aussi aberrantes les unes que les autres. Cependant, en raison du risque de rejet élevé, les greffons ne sont en aucun cas prélevés chez un autre patient contrairement à ce que pensent certains. Seules les autogreffes sont préconisées.
